Mercredi
21 octobre 2015.
En
ces nouveaux jours de congés direction la gare de la part dieu afin
d’y prendre un bus qui nous mènent jusqu’à Clermont-Ferrand où
nous prenons un train pour Aurillac.
Nous
allons déposer nos bagages au Grand Hôtel de Bordeaux
avant
d’aller déjeuner au restaurant Les quatre saisons. Puis nous nous
rendons au musée d’art et d’archéologie où nous
découvrons une belle collection de parapluies et d’ombelles
anciennes.
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La légende veut que la Jordanne, rivière qui traverse la ville
millénaire, charrie des paillettes d’or. Cet or était échangé
sur place contre du cuivre que rapportaient d’Espagne les pélerins
du nord de l’Europe revenant de St Jacques de Compostelle. Ainsi
naquit dés le Moyen Age à Aurillac une tradition de batteurs de
cuivre. A partir de ce cuivre, les artisans locaux réalisaient les
pièces métalliques telles que le coulant, la noix, les
aiguillettes, entrant dans la fabrication du parapluie. De leur côté,
les éleveurs cantaliens qui allaient en Espagne vendre leur bétail,
ramenaient de la toile de coton à partir de laquelle furent faites
les premières couvertures.
Tout
était donc réuni pour faire d’Aurillac le berceau du parapluie.
De
la reconstitution d’un intérieur cantalien de la fin du XIXème
siècle,
puis
les salles d’archéologies qui s’attachent à retracer la vie et
l’habitat dans le Cantal depuis les origines jusqu’à la période
médiévale
ainsi
que les collections de peintures et de sculptures du XVIIème siècle
à nos jours.
Ainsi
qu’une exposition temporaire qui s’intitule Postures autour des
sports d’un autre siècle.
Petite
collation au salon de thé Dell’Angelo face à l’hôtel de ville,
puis
déambulation dans les rues au charmes médiévaux
jusqu’à
l’abbatiale Saint Géraud
et
sa Piéta du XVIIIème siècle
avant
de nous rendre chez mon frère et ma belle-sœur pour faire la
connaissance de mon neveu né mi-septembre.
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°koukou42°