vendredi 27 avril 2018

Echappée belle cantalienne. Aurillac.


Mercredi 21 octobre 2015.



En ces nouveaux jours de congés direction la gare de la part dieu afin d’y prendre un bus qui nous mènent jusqu’à Clermont-Ferrand où nous prenons un train pour Aurillac.



Nous allons déposer nos bagages au Grand Hôtel de Bordeaux


avant d’aller déjeuner au restaurant Les quatre saisons. Puis nous nous rendons au musée d’art et d’archéologie où nous découvrons une belle collection de parapluies et d’ombelles anciennes.



- La légende veut que la Jordanne, rivière qui traverse la ville millénaire, charrie des paillettes d’or. Cet or était échangé sur place contre du cuivre que rapportaient d’Espagne les pélerins du nord de l’Europe revenant de St Jacques de Compostelle. Ainsi naquit dés le Moyen Age à Aurillac une tradition de batteurs de cuivre. A partir de ce cuivre, les artisans locaux réalisaient les pièces métalliques telles que le coulant, la noix, les aiguillettes, entrant dans la fabrication du parapluie. De leur côté, les éleveurs cantaliens qui allaient en Espagne vendre leur bétail, ramenaient de la toile de coton à partir de laquelle furent faites les premières couvertures.

Tout était donc réuni pour faire d’Aurillac le berceau du parapluie.

De la reconstitution d’un intérieur cantalien de la fin du XIXème siècle,



puis les salles d’archéologies qui s’attachent à retracer la vie et l’habitat dans le Cantal depuis les origines jusqu’à la période médiévale




ainsi que les collections de peintures et de sculptures du XVIIème siècle à nos jours.


Ainsi qu’une exposition temporaire qui s’intitule Postures autour des sports d’un autre siècle. 



 Petite collation au salon de thé Dell’Angelo face à l’hôtel de ville,

puis déambulation dans les rues au charmes médiévaux



jusqu’à l’abbatiale Saint Géraud


et sa Piéta du XVIIIème siècle


avant de nous rendre chez mon frère et ma belle-sœur pour faire la connaissance de mon neveu né mi-septembre. 


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°koukou42°