Escapade Alsacienne : Le château du Haut-Koenisbourg. (4).

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Passant par la salle du  Kaiser, on découvre Saint-Georges terrassant le dragon sur la cheminée,

des scènes de tournois sur les murs

et couronnant la pièce un aigle déployant ses ailes d’ors sur la voûte,

puis par la chambre Lorraine où est suspendu un Graouly (dragon du folklore messin), 

avant de découvrir la salle des trophées de chasse

et la salle d’armes.

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Escapade Alsacienne : Le château du Haut-Koenisbourg. (3).

La visite :

Nous entrons par l’entrée d’honneur

et pénétrons dans la cour basse qui renfermait les communs

et qui est agrémentée en son centre par la copie d’une fontaine du XVe siècle. 

L’accès au logis s’effectue par une montée de marches qui aboutissent à un pont-levis,

puis nous passons par la Porte aux lions

avant d’aboutir dans la cour intérieure où se trouve une citerne couverte

et l’on découvre la galerie couverte

ainsi que l’escalier hexagonal qui dessert les étages supérieurs.  

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De couleurs et de sons. (Fin).

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Des garnements jouant avec l'horloge d'une gare.

Un pont tous fanions flottant.

Une statut éclairée

par des cyclistes statiques.

Une cathédrale rayonnante de lumières et de sons.

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De couleurs et de sons. (1).

Lyon le 07 décembre 2012.

Déambulation poétique dans les rues colorées pour découvrir...

Des bouquets de lampadaires éclairent l'opéra..

Des coeurs de couleurs.

Un passage chamarré.

Des baleines dans une darse .

Des poissons célestes.

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Naturellement bon : Prunelles au vinaigre.

Cueillir les prunelles avant les gelées.

Les piquer à la fourchette puis les laisser macérer quatre à cinq jours dans une solution saturée de sel,

égoutter, laver à l'eau et laisser sécher. (cette année, ayant déjà subies les gelées, j'ai sauté cette étape).

Mettre en bocaux en intercalant des herbes aromatiques et des épices.

Recouvrir de vinaigre de vin.

Attendre un mois avant de déguster comme condiment.

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Escapade Alsacienne : Le château du Haut-koenisbourg. (2).

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Les opérations débutent le 12 avril 1900 grâce à un relevé précis des ruines, par une campagne photographique et sur des observations archéologiques, historiques et architecturales très poussées tout en respectant les traces romanes encore visible.

La rapidité d’exécution de ce chantier est largement due à la modernité des techniques employées en ce début de XXe siècle. 

Deux grues mécaniques sont présentes dès 1901.

Une d'entre elles circule sur des rails surplombant le haut jardin, l'autre est installée à l'intérieur du donjon.

Grâce à cette technique, le chantier est aussi éclairé, alors que les villages au pied du château fort n'auront le courant que après la Première Guerre Mondiale.

Chaque année l’empereur visitait le chantier pour constater l’évolution des travaux.

L'inauguration est célébrée le 13 mai 1908.

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Jardin Rosa Mir.

Dans les années 1950, Jules Senis (1913-1983), artisan maçon carreleur, réfugié de la guerre d'Espagne et atteint d'un cancer de la gorge fit le vœu après plusieurs mois de soins de construire un jardin lorsqu'il sortirait de l'hôpital.  

Ainsi fut crée le jardin Rosa Mir (350 m2) durant les vingt dernières années de sa vie.

Jardin « extraordinaire » dédié à sa mère Rosa Mir Mercader, ainsi qu'à la Vierge Marie. 

87 , grande rue de la Croix Rousse 69004 Lyon.

Accessible par l'impasse Viard.

Visite libre samedi et dimanche de 10h à 18h.

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Escapade Alsacienne : Le château du Haut-Koenigsbourg. (1).

Dimanche 29 juillet 2012

Aujourd’hui direction le sud du département pour un monument que j’ai déjà visité plusieurs fois : le château du Haut- Koenigsbourg.

Surprenant vaisseau de pierre de 270 mètres de long  perché a près de 800 mètres sur un éperon de grès lui conférant ainsi une vue imprenable sur toutes les routes des alentours.

Témoin stratégique de la région au Moyen Âge, il fut construit au XIIe siècle.

Il passe entre les mains de plusieurs propriétaires pas toujours de bonne réputation et après deux siècles et demi d’abandon, la ville de Sélestat offre ses ruines remarquables en 1899

à l’empereur Guillaume II de Hohenzollern grand amateur de châteaux (l’Alsace étant sous administration allemande depuis 1871).

Guillaume II entreprend sa restauration au début du XXe siècle par le biais de l’architecte Berlinois Bodo Ebhardt

dans le but d’en faire non pas une résidence impériale mais un musée du Moyen Âge. Chantier qui durera 8 ans avec des moyens considérables en hommes et matériel.

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