dimanche 6 décembre 2009

Mise en lumière.








La fête des lumières à Lyon hier soir, avec mon amoureux.
Dans la foule parfois trop compact, les odeurs de vin, de marrons chauds...
Main dans la main...

°koukou42°

mercredi 4 novembre 2009

Carnet de voyage : Les villes impériales. (3)







Lundi 21 octobre 2002

Nous quittons Marrakech en faisant le tour des remparts qui enserrent la ville comme une ceinture rose, ocre et rouge, longue de 20 kilomètres et percées de dix portes, puis nous allons faire un tour dans la palmeraie qui est bien malade de manques de soins et d’eau, à part dans les quartiers résidentiels et les complexes hôteliers.
Nous roulons en direction de Beni Mellal en longeant le Haut Atlas, traversant différentes plaines agricoles et plantations d’oliveraies, d’orangeraies et de figues de barbaries. Il n’y à pas eu de précipitations sérieuses depuis six ans et les paysages sont des plus secs, ce qui ne leurs enlèvent pas de leurs splendeurs.
Nous faisons quelques arrêts dans des villages qui ne manquent pas de pittoresques et où l’on décèle que les autochtones ne vivent que de peu de chose. Nous dormons à Beni Mellal dans un très bel hôtel « AL BASSITINE » où nous discuterons après le repas au bord de la piscine entourée de citronniers, d’orangers avec le « club des 8 : Yohann & Gaëlle ; Yvan & Christiane ; Michael & Gaëlle ; et nous deux).

Mardi 22 octobre 2002

Direction Ifrane.
Est-ce encore le Maroc, ces villas de villégiatures à hauts pignons coiffées de tuiles rouges, ces rues et avenues bordées de platanes ?
Ifrane a été construites de toutes pièces par les Français au début des années 1930 sur les modèles des stations alpines. Ici les hôtels s’appellent « le Perce neige où Le Chamonix »
Puis traversée du Moyen Atlas avec ses différentes teintes : vertes pour l’aluminium ; rouges pour l’oxyde de fer ; grises pour l’argile ; beiges pour les terres nues sans végétations ; de forêts de cèdres, de chênes verts, d’eucalyptus, de pins d’Alep, en direction de Meknès pour le déjeuner.
Puis nous repartons pour la visite des ruines romaines de Volubilis qui sont situées sur une colline au milieu d’une plaine fertile, et qui sont les plus étendues et les mieux conservées de tout le Maroc. Son intérêt réside notamment dans ses mosaïques remarquablement conservées, éparpillées un peu partout sur le site. Au point le plus élevé de la colline se dresse le cœur de la ville ; le forum et la basilique, le capitole dont le sommet des colonnes servent de niches aux cigognes, et l’arc de triomphe. Nous quittons le site sous les rayons du soleil couchant, pour nous rendrent à Fès où nous passerons la nuit à l’hôtel « WASSAMI ».

Nous mangerons tous ensemble puis, une partie du groupe se rend à une soirée de mariage marocain qui ne nous intéresse pas. Nous en profitons pour allez nous balader dans la ville et rechercher un peu de vie locale.
Nous descendons l’avenue Hassan II, puis le boulevard Moulay Youssef, tous deux bordés de palmiers dattiers, pour arriver place des Alaouites où se trouve le palais royal (Dar el-Makhsen) et ses sept portes de bronzes, de stucs et de zelliges ; sous le clair de lune, c’est une merveille. Retour à l’hôtel accompagné par des jeunes qui nous abordent pour discuter simplement avec sourires et politesse.

°koukou42° Mardi 22 octobre 2002

lundi 2 novembre 2009

Balade à deux.






Hier matin, grand soleil sur Lyon, nous partons faire un tour au parc de la Tête d'Or.
Couleurs enchanteresses de l'automne, feuilles faisant un tapis au sol, soleil nous caressant, comme il fait bon d'être à ses côtés...

°koukou42°

jeudi 22 octobre 2009

Carnet de voyage : Les villes impériales. (2)







Dimanche 20 octobre.

Réveil à 7h30 pour notre première journée consacrée à la visite de Marrakech dite « la rouge ».
Nous commençons par les jardins de la Ménara, des vergers surtout peuplés d’oliviers, entourent un vaste bassin rectangulaire, dont un des côtés est agrémenté d’un pavillon qui était utilisé par les sultans pour leurs pique-niques.

Nous continuons par la Médina avec la visite des tombeaux Saadiens qui sont d’une beauté tant par les zelliges, les stucs, les frontons de cèdres sculptés.
Puis continuation pour le palais El-Badi et ses 360 pièces organisées autour d’un vaste bassin central et de jardins d’oliviers et d’agrumes en contrebas, mais qui est bien malheureusement en ruine ; surtout peuplé par des hordes de touristes et de cigognes qui vivent en toute quiétude.

Puis nous continuons par la deuxième plus grande mosquée du Maroc :
La Koutoubia avec son minaret qui culmine à 77 mètres et qui sert d’emblème et de point de repère pour toute la ville ; chaque face est ornée de motifs différents ; architecture exceptionnelle qui est couronnée de quatre boules de cuivres.

Nous poursuivons notre périple dans les souks : cuirs, bijoux, objets en fer forgé, tapis, céramiques, textiles, épices, fruits frais et secs, poissons et viandes pendantes aux étals dans un bourdonnement des mouches, tout un bric-à-brac avec des odeurs pas toujours agréables. C’est tellement animé que l’on penserait être à l’intérieur d’une fourmilière. Il y à tant à voir, à sentir et toucher que l’on y passerait des jours, des mois où même des années sans se lasser, voguant de découvertes en découvertes.
Nous ressortons enfin de ses étroites ruelles insalubres et bruissantes, mais tellement merveilleuses pour nous retrouver sur la place Djemaa El-F’na, qui peu avant le coucher du soleil, s’anime de bateleurs, de conteurs, de musiciens, de charmeurs de serpents, d’acrobates, de vendeurs de jus de fruits (oranges d’un délice !), de fruits secs et de babioles en tous genres.
Et d’un seul coup, s’installent en une poignée de temps, des bancs, tables et multiple boui-boui qui enfument toute la place pour proposer à manger pour une somme modique. Il y à la de quoi flâner, ébahis, charmés et amusés, de spectacles en spectacles.
Nous rentrons à l’hôtel AL KABIR pour notre deuxième nuit à Marrakech.

Demain, nous partons en direction de Beni Mellal par le haut atlas.

°koukou42° Dimanche 20 octobre 2002

samedi 17 octobre 2009

Carnet de voyage : Les villes impériales. (1)


Samedi 19 octobre.

Aéroport de Lyon Saint-Exupéry, départ de notre semaine de vacances au Maroc.
Au programme : Les villes impériales.
Nous avons rendez-vous à 18h30 au comptoir du voyagiste pour récupérer nos billets. Nous sommes entourés d'une nuée de "vieux" qui s'impatientent parce que celà ne va pas assez vite (alors qu'ils vont attendre 2 heures avant d'embarquer).
20h35, nous embarquons dans un boeing pour le vol AT5763 de Royal Air Maroc, la température extérieure est de 9° environ. Le vol se passe très bien, nous mangeons à bord.
Pour mon baptème de l'air, je n'ai ressenti qu'une petite gêne au décollage et je n'ai pas été malade comme certains des passagers.
Nous atterrissons à Marrakech à 22h45 et la température est de 29°, nous sommes complètement en vacances maintenant.
Nous sommes les premiers à nous installés dans le bus qui nous conduira à l'hôtel et nous en profitons pour scruter toutes les personnes qui feront le circuit avec nous.
Pendant le trajet sur Marrakech, la guide nous fait savoir que nous ne faisons pas parti de ce groupe ainsi que deux autres personnes.
Ouf ! Nous n'aurons pas à supporter le vieux qui râle depuis notre départ de lyon.
Nous arrivons à l'hôtel AL KABIR qui se trouve dans le gueliz (le quartier moderne et européen), nous dormirons la fenêtre ouverte comme toutes les nuits où presque...

° koukou 42 ° Samedi 19 octobre 2002

mardi 1 septembre 2009

Escapade savoyarde. (fin).









Vendredi 27 mars & Samedi 28 mars 2009.

Réveil matinal. Le temps est mi-figue, mi-raisin ; Je traîne au lit le nez dans le livre de l’expo d’Evian. Pas d’entrain ce matin. Ce sera journée farniente à écrire et à lire sur la terrasse entre deux éclaircies.
Demain je quitte mon petit chalet de 60m2.
Réveil matinal. Remise des clefs à 10 heures.
Temps bouché, mi-pluie, mi-neige. Pas de regret à partir par une telle météo. Route en sens inverse sous la pluie.

J’ai passé une semaine de plein repos, de décompression, dans un cadre magnifique.

°koukou42°

mercredi 26 août 2009

Escapades savoyarde. (6)









Jeudi 26 mars 2009.

Toujours levé tardif. Grand soleil qui fait miroiter les pentes de La Pointe de Nantou que j’admire tous les jours du balcon de la chambre.
Le temps est tellement changeant qu’il me faut profiter du moindre rayon de soleil. Je me rééquipe et reprend la route de Gaidon. Je bifurque sur la piste forestière de Criou. A peine si je voies où elle se trouve tant l’épaisseur neigeuse qui la recouvre est grande. Je m’enfonce parfois jusqu’aux genoux. Heureusement que j’ai mon bâton de randonnée. Mais l’effort est tellement bon et le paysage grandiose sous le soleil radieux.
Je surplombe Essert-Romand puis La côte d’Arbroz avec Morzine en second plan.
Montée ardue. Je sues et m’embourbe dans la poudreuse vierge de tous passages.
Mais quel plaisir.
Chantilly tout autour de moi.
Un cri strident s’échappe de la forêt. Un brame ? Je ne sais. Puis au détour d’un lacet, rencontre avec trois biches en train de paître.
J’aime ses rencontres furtives avec la faune.
Chemin coupé par un couloir d’avalanche que je remonte au milieu des blocs de glace afin de le rejoindre plus haut.
Pourvu que tout cela tienne. Sinon…
Me revoilà en sûreté de nouveau sur une portion dégagée.
Un panneau : 1370 mètres.
Je reprends un nouveau sentier, plutôt une sente qui court le long du ravin et qui me ramène au bourg "La Place" où je suis déjà passé mardi. Descente plus sereine dans les traces laissées, par des randonneurs à raquettes. Fini les congères et les trous de poudreuse où je me suis enfoncé jusqu’à la taille. Crise de rire garantie.
Un vrai gosse.
Je suis éreinté, les pieds et le pantalon trempé.
Je rentre fourbu d’une marche de plus de six heures.
Un bon bain chaud, et il n’y paraîtra plus.

°koukou42°

mercredi 19 août 2009

Escapades savoyarde. (5)





Mercredi 25 mars 2009.

Levé tardif. Temps maussade. Il neige de nouveau.
Que faire ?
Je prends la voiture et part sans but.
Arrêt à Saint-Jean d’Aulps. Ruines de l’ancienne abbaye, puis direction les gorges du pont du diable creusé par la Dranse de Morzine. Je longe le torrent impétueux nuancé de couleurs bleu vert. Je remonte sur le plateau et redescend l’autre versant vers Evian.
Evian, ballade sur le front du lac puis dans les rues adjacentes.
Palais Lumière ; exposition des artistes de « La ruche ». Emerveillement du lieu et des œuvres exposées.
Retour en début de soirée repu picturalement parlant.

°koukou42°

samedi 15 août 2009

Escapade savoyarde. (4)









Mardi 24 mars 20009.

Craquements et raclements me réveille en sursaut. Un œil embrumé sur le portable. Six heures quinze.
Silence. Oreilles attentives.
Rien. Le toit ne s’effondrant pas sous le poids de la neige accumulée, je me re-coule sous la couette. Me rendors.
Craquements et raclements de nouveau. Six heures trente.
Je jette un œil furibond par la fenêtre, maugréant contre le fauteur de trouble de si bon matin.
Au-delà du rideau de neige qui tombe à gros flocons, passe le chasse-neige local. Je saisi mieux cet état auditif déplaisant.
C’est la « peuf » comme diraient les autochtones. On y voit rien à cinquante mètres.
Je traînasse donc au lit toute la matinée, à lire, à écrire, à penser ; à écouter de la musique, à regarder la neige tomber et recouvrir d’une nouvelle couche les alentours.
C’est reposant de regarder ces petites plumes duveteuses éthérées virevoltant qui recouvrent de tendre ouate le paysage, tendit qu’une mésange tout en pépiant contre ce printemps réfractaire à s’installer vient régulièrement se poser sur la rambarde du balcon.
Midi.
Accalmie des tourbillons neigeux, ciel qui s’éclaircies un temps soit peu. Frugal petit déjeuner, et me voilà reparties pour une longue ballade. J’empreinte la route qui mène à Graidon. Route fermée car non déneigée pour cause plausible d’avalanche. Je suis le ruban blanc qui monte à travers bois. Le ciel s’assombrit de plus en plus. L’éclaircie n’aura pas durée. Les nuages s’accrochent aux faîtes des arbres et soudain, des bourrasques de neiges me tombe dessus ; me voilà pris en pleine tempête.
Je n’arrête pas de grimper en suivant ce serpent blanc immaculé jusqu’à : Les Places - 1255 mètres -
Traversée du bourg endormies et vide de tous occupants sous la neige et ses chalets tapis sous l’épais manteau blanc qui les enserre. Je continues ma montée, traverse le lieu-dit "Les Bovies" et arrive au terme de la route qui se finie en cul-de-sac au fond d’une combe au pied du Roc d’Enfer - 2244 mètres – et où est tapies Graidon serties de falaises aux pentes abruptes.
Site magnifique.
Je suis la faune et la flore, l’air et la terre, l’eau et le vent dans cette immensité minérale.
De la neige jusqu’aux genoux je me fraies un chemin jusqu’à l’église d’où j’embrasse tout le bourg et les environs. Quelques photos pour immortaliser mon raid et je reprends la route dans le sens inverse car le temps ne me laissant peu de répit est de nouveau menaçant. Descente plus rapide poussé par les bourrasques de vent et de neige mêlés.
J’ai passé une après midi très agréable au sein des éléments fougueux de mère nature.

°koukou42°

lundi 10 août 2009

Escapades savoyarde. (3)









Lundi 23 mars 2009.

Sommeil plus léger. Re-petit déjeuner sur la terrasse. Qu’il fait bon être là.
Belle journée en perspective. Je me rééquipe pour une nouvelle ballade. Où allez ? Je regarde la carte et les alentours.
Montriond, son lac et sa cascade seront mon but d’aujourd’hui. Quelques kilomètres en voiture et je me gare en bout dudit lac.
Tous gelé qu’il est dans un camaïeu de bleus et de blancs serti de hautes falaises. Peu de monde en ce début d’après-midi. Je suis bien en ce lieu magnifique. Plus détendues que ça, tu ne peux ; si, il y à d’autres moyens ; et mon esprit vagabonde.
Mes pas me mènent toujours plus loin, plus haut jusqu’à la cascade. Jaillissement de l’eau, hauteur de neige impressionnante, stalactites de glace sur les parois, ciel bleu azur, soleil qui englobe le tout et légère brise qui revigore tout mon être. Petit encas rapide tout en regardant les alentours aux jumelles. Je m’attarde sur les cascades et les dentelles de glace qui parsèment les parois abruptes qui m’encerclent. Redescente rapide, car le temps se détériore, de gros nuages noirs s’entassent sur les sommets et cela n’augure rien de bien ni de bon pour les heures à venir et la température à décider de descendre plus vite que moi malgré mon pas alerte. Retour emmitouflé car à dix sept heures plus que 5°. Perdu 10° en quatre heures. Mais je suis toujours bien équipé : chaussures de marche ; polaire, pull chaud, bonnet, écharpe, mitaines, coupe-vent ; et les indispensables en-cas et bouteille d’eau dans le sac à dos. On ne plaisante pas quand on part en montagne.
Petites courses en rentrant au chalet. Produits du terroir : fromages, saucisses et saucissons fumés, vins régionaux et apéritif au génépi.
Faut pas se laisser abattre…

°koukou42°

samedi 8 août 2009

Escapade savoyarde. (2)






Dimanche 22 mars 2009 - 10 heures -

Levé, j’ai dormi un tour de cadran ; cela faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Il fait très beau et chaud - 16° -
- 11 heures -
Petit déjeuner sur la terrasse au soleil et avec les mots croisés. C’est divin. Je m’offre aux doux rayons jusqu’à treize heures. Toilette ; puis je m’équipe pour une randonnée au dessus du village. J’ai repéré hier quelques chemins de départ. Je m’engage dans le premier venu et grimpe dans la neige accompagné par le chant du torrent qui est en contrebas. Silence. Nuls bruits, sauf celui de l’eau qui bondit de rochers en rochers.
Plénitudes.
Mon esprit vagabonde dans cette forêt, se rafraîchissant dans l’épaisseur de la neige, bondissant d’arbre en arbre, se parant de mousses et de lichens, s’enivrant d’odeur de résine et d’humus. Je chemine l’esprit éthéré. Je m’enfonce dans les bois avec parfois de la neige jusqu’aux mollets. Sur la crête, un panneau : Les bois noirs - 1320 mètres -
Descente et arrivé au dessus du village La Côte-d’Arbroz que domine le Mont Chéry qui culmine à 1827 mètres.
Retour à mon point de départ par la route.
Première journée agréable loin des noirceurs en tous genres.
Textos et appels de mes proches ont ponctués mon petit périple de quelques heures. Je vous aime tous et tant et vous sais soucieux de mon état par rapport à cette rupture houleuse.

°koukou42°

vendredi 7 août 2009

Escapade savoyardes (1)



Samedi 21 mars 2009 - 13 heures -

Départ pour Essert-Romant. Haute-Savoie. Autoroute. Il fait beau. Je m’enfonce de plus en plus dans l’élément minéral ; et de plus en plus saupoudré de neige. Lyon, Chambéry, Annecy, Cluse, Morzine, Essert-Romant, petit village agrémenté d’un seul bar-restaurant. J’arrive après deux heures trente de route aux gîtes communaux du Roc d’Enfer.
Petits chalets accolés par quatre. Le N° 11, chalet « Le Tréchon », ma villégiature pour la semaine.
Température 4°.
Configuration du lieu :
Une entrée avec placard, porte skis et chaussures.
Un couloir qui mène aux toilettes et à la salle de bain.
Sept marches qui montent à l’étage et qui desservent deux chambres. Une avec un grand placard et deux lits d’une personne, et l’autre avec également un grand placard et un lit deux personnes ; les deux donnant sur balcon avec vue magnifique.
Retour au couloir d’où descendent sept marches qui donnent sur la pièce à vivre.
Un coin cuisine aménagée, un coin salon : deux fauteuils et table basse.
Un coin repas avec une grande table et deux bancs
Un coin repos avec banquette faisant office de double couchage
Une porte fenêtre donnant sur terrasse agrémentée d’une table et chaises de jardin, et banc en bois.

Je prends possession des lieux. M’approprie mon espace vital.
M’offre le doux luxe d’un moment de super détente dans un bain chaud, un verre de viognier. Hum ! Que c’est bon de penser à soi. Repas frugal. Au lit à vingt heures avec mon bouquin. Je suis épuisé de ces dernières semaines.
Trop de stress accumulé par le comportement et les vilénies de mon ex. Une semaine pour me dépolluer l’esprit.

°koukou42°